Ça y est, je suis arrivée au bout. Attention, pas au bout du bout... Juste au bout de la première partie ! Planifier, écrire, relire, corriger, relire à haute voix, corriger, corriger, relire. C'est sûrement pas parfait, mais c'est fait. Et pour une fois, contrairement à la plupart des mes nouvelles, j'ai l'impression d'avoir travaillé pour de vrai. Ne pas laisser en plan des phrases dont je ne suis pas satisfaite, en espérant que les gens vont vite passer dessus. Creuser les incertitudes, épaissir les personnages, détailler les images, réduire la part du hasard. Du boulot, quoi !
L'écrire ici, ça signifie que je me suis habituée à l'idée que le travail avance. Ça lui donne une réalité. Et ça veut dire aussi qu'il va falloir attaquer la suite.
Heureusement, pendant ce temps-là, une demi-douzaine de lecteurs dévoués vont faire une relecture attentive du machin. Et ça, c'est la plus belle motivation qui soit.
Bonjour!
RépondreSupprimerL'important c'est que l'inspiration y est.
Bonne continuité!