lundi 2 avril 2012

Le Billet du Lundi : quelques babioles numériques... et moi, et moi, et moi !

Hello everybody ! 
Par moment, je suis tellement fatiguée qu'il ne me reste plus qu'à me jeter à corps perdu dans un billet de blog qui aura au moins le mérite de m'emmener loin de mes tracasseries professionnelles ou autres. Et c'est une douce préoccupation que de glaner ça et là quelques menues écritures qui attirent l'attention, éveillent la pensée, stimulent le goût littéraire, bref ME font changer d'air, car MOI D'ABORD*, d'abord ! 

Et si ces petites affaires vous plaisent, tant mieux, c'est gratuit, je partage avec un plaisir décuplé, non dissimulé et pas simulé non plus, d'ailleurs... Oooops, je dérape, là, non ? 

Bref. 

Pour commencer, voici un très très joli texte de Daniel Bourrion, qui a la chance inouïe d'avoir été Robert Smith, et celle non moins inouïe d'avoir le talent de le conter en toute beauté. Coïncidence qui n'intéresse que moi, il a par ailleurs publié en 2003 dans la revue Travers, bijoux parmi les bijoux de papier même si je ne l'ai pas eue entre les mains depuis mes... 17 ans environ ! Une petite photo de Philippe Marchal, dans le Républicain Lorrain, parce qu'il le vaut bien. 

Ensuite, je ne peux que vous inviter de nouveau à télécharger le n°1 de Numéritérature Magazine, un ebook dans lequel vous retrouverez une nouvelle de votre serviteuse**. Si vous n'en avez pas encore, c'est donc le moment opportun pour vous acheter une liseuse, surtout s'il vous manquait un prétexte, une utilité, une excuse ou toute autre bonne raison de passer à l'acte. 

Il y a aussi cette courte interview de Bret Easton Elis, dont j'ai bien aimé le récent Lunar Park
Pour moi, il est un peu le pendant américain de Djian (voir la délicieuse série de vidéos où Djian fait l'éloge de l'entertainement à l'américaine, des Sopranos à Breaking Bad, en passant par... Houellebecq !) mais son penchant pour la télévision et son simplisme d'écrivain à succès m'agacent un peu. En tout cas, la dialectique entre littérature et télévision, art intello et art populaire ne me laisse pas indifférente.


 
Ceci dit, cette pensée pour Bret Easton Elis aura eu le mérite de rappeler à mon souvenir un article de Pacôme Thiellement, qui se dit lui-même -et avec une certaine ironie- "herméneute de la Pop Culture". Un drôle d'entretien qui me plaît parce qu'il rapproche des références comme Les Beatles, Nerval, la série Lost, Led Zeppelin et Twin Peaks, de David Lynch, autant d'objets culturels que j'aime à la folie, tout court et côte à côte !




Et par ici, des photos de la chouette aventure de François Bon à Fontevraud avec Claude Ponti

Pour finir, un article qui m'a bien fait rire et renoncer en rien !

Sur ce, je m'en vais boire une tisane à votre santé.



* Ça devient une habitude, là, non ?
** Bon sang, qu'est-ce que ça m'agace quand ce déplaisant correcteur orthographique me fait des histoires parce que je féminise serviteur... Franchement, vraiment pas de quoi être fière !!!

1 commentaire:

  1. Merci pour la mention de mon article (ne PAS devenir écrivain)

    Au plaisir,

    Manuel.

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