jeudi 16 février 2012

Murakami is almost God (and Kobo is my -new- Friend)

Oui, je me souviens d'un groupe qui s’appelait comme ça du temps où j'étais sur Facebook. Depuis j'ai arrêté Fb, mais pas Murakami. C'est même le seul auteur que je lis en ce moment, alors que j'ai arrêté les romans pour éviter les interférences avec ma propre écriture. Pourquoi lui ?
D'abord, parce que j'ai dévoré Autoportrait de l'auteur en coureur de fond juste après Noël, au moment de me remettre à courir un peu sérieusement. C'est un excellent petit livre dans lequel il parle de son expérience de coureur (multi-marathonien et triathlonien, quand même !) et un peu de sa vie et de son travail d'écrivain. De prime abord, ce n'est pas très bien écrit. Franc, direct, honnête en tout cas. Il y raconte très simplement ses entraînements, ses défis, sa manière d'envisager la course à pied et le dépassement de soi (la description du marathon qu'il a couru, seul, d'Athènes à Marathon, en plein mois d’aôut au début des années 80, est un bijou comique !). 
Je n'ai pas lâché ce bouquin avant de l'avoir fini. Pourtant, quand j'en parle comme ça, il me semble que ça n'a pas l'air passionnant du tout... Et c'est sûrement vrai ! Mais quand LUI se raconte en coureur, c'est un vrai bonheur.
Bref, pour peu que vous soyez de près ou de loin intéressé par la course, l'endurance, la persévérance et la philosophie qui s'y rapporte, ou si vous cherchez une lecture inhabituelle, allez-y. Sur un sujet pareil, on repère à coups sûrs les très grands auteurs !

Ensuite, parce que je me suis acheté une liseuse (j'entends d'ici la correction... Oui, "on" s'est acheté une liseuse mais tu n'étais pas là quand le colis est arrivé, et moi si, donc elle me prend désormais pour sa maman :-D). Le premier bouquin que j'ai eu envie de télécharger c'est bien sûr IQ84*. Bref,  comme il fallait bien que quelqu'un essaye le Kobo, je m'y suis collée... Pour mon plus grand plaisir. 
Je vous tiens au courant !


*bon, il faut quand même remarquer que le catalogue des romans disponibles en numérique est à pleurer, mais j'en parlerai une autre fois

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